Illustré par Julien Chung, publié par Les 400 coups (2016, Québec et France ; 2017, Canada anglophone et États-Unis ; 2019, Chine ; 2021, nouvelle édition en plus grand format, Québec et France)
Par une belle journée ensoleillée, les animaux prennent la pose pour la photo. Ou presque.
Ouistitiiiiiiii !
L’imagier fait partie des 10 livres coups de cœur sélectionnés dans la catégorie « P’tites graines » à l’occasion du Printemps des lecteurs 2022, le salon du livre jeunesse organisé par l’association On se lit tout, à Bourges.
L’imagier fait partie de la sélection Communication Jeunesse 2016-2017.
L’imagier fait partie des 16 livres présélectionnés pour le prix ESCAPAGES 2018, catégorie petits lecteurs 2-4 ans.
On parle de l’imagier…
Sur le site du Canadian’s Children’s Book Centre : « Dans Ne bouge pas !, autre phrase exclamative très connue des bambins, l’auteure énumère une série d’animaux en jouant un peu à la devinette avec ses lecteurs. Une première page double présente une partie d’un animal (cornes, bec, queue, etc.) accompagné d’un déterminant, la suivante montre l’animal au complet et son nom. Là encore, ce procédé incite le jeune lecteur à entrer dans le jeu et tenter de trouver l’animal mystère en se basant sur des indices visuels et grammaticaux. Ici aussi, la finale renvoie au titre et à la page de garde où on voit un banc de gymnase… »
Sur le site Littérature enfantine, promouvoir des albums de qualité : « Les animaux sont stylisés et toujours montrés en silhouette noire sur fond très coloré, créant un contraste adapté à la vue des tout petits. Le petit format aux pages cartonnées et aux angles arrondis convient également à cet âge tendre. Quant au jeu de devinette qui s’installe au fil des pages, il sera d’autant plus apprécié par les enfants à la relecture. […] Dans tous les cas, ce qui compte ce n’est pas que l’enfant donne la bonne réponse mais qu’il passe un bon moment. »
Vous trouverez des pistes d’exploration pédagogiques de l’imagier sur le site de Livres ouverts (Ministère de l’Education et de l’Enseignement supérieur du Québec) : « Le texte s’intègre dans une mise en pages équilibrée où des illustrations graphiques et épurées, en noir et blanc, se détachent nettement sur des fonds de couleurs vives. La chute du livre, habile et amusante, renvoie le lecteur au titre. »
L’imagier est recommandé par les orthophonistes sur le site Berlingot, car il permet de « stimuler les compétences langagières suivantes :
-le fait de pouvoir identifier un objet qui n’est que partiellement visible, compétence constituant un précurseur au langage et à la communication.
-la fonction de nommer et de pointer : tous les animaux énumérés sont illustrés sur la dernière page. Il peut alors être intéressant de les retrouver ou de les identifier.
-le vocabulaire des animaux, dans ce cas-ci, celui des animaux exotiques
-l’association entre le texte et l’image : la mise en page permet de bien associer chaque nom d’animal à son illustration.
-la production du déterminant défini « le » : le niveau de langage est simple. Chaque nouvel animal est introduit par le déterminant « le », qui occupe une page en entier, suivi du nom de l’animal. La police est facilement lisible.«
Du bleu layette et un rhino en GIF, par Julien Chung :
Vous souhaitez en savoir plus sur les recherches scientifiques à propos du développement de la vision chez les bébés et sur la façon dont les imagiers Ne bouge pas ! et Dépêche toi ! ont été conçus spécialement pour leurs beaux yeux ? Alors cet article pourrait vous intéresser.
Maintenant, plus personne ne bouge, sauf pour commander en ligne l’imagier (en France, c’est par ici, au Québec, c’est par là) ou aller se le procurer en librairie.
PS : Entendre l’imagier à l’heure du conte, c’est possible en cliquant ici !