Un piano sans queue ni tête

Un piano sans queue ni tête. Roman policier illustré par le si talentueux/poétique/drôle Yves Dumont, publié par les éditions Frimousse en 2019. Pour les lecteurs dès 7 ans.

Avec de la musique, des haïkus et une enquête complètement farfelue dedans.

Les questions ne manquent pas après la découverte d’un piano au bord de la falaise : qui a déposé le piano à l’endroit le plus élevé de l’île ? Comment et surtout… pourquoi ?

Sous le regard mordant de la journaliste Esther Éopite, l’inspecteur Lépingle mise sur l’improvisation la plus totale pour démasquer le coupable.

L’inspecteur Lépingle en pleine enquête, visiblement.

Les sources d’inspiration qui ont nourri l’histoire sont principalement :

-les séries télévisées Columbo, Ptit Quinquin, Twin Peaks.

-les îles bretonnes de Belle-Île, Bréhat, Sein.

Les lieux du crime.

-une anecdote concernant la vie du compositeur et pianiste Frédéric Chopin : on dit qu’il aurait composé la « Valse minute » ou « Valse du petite chien » (à écouter ici) en cherchant à décrire, par le rythme de la musique, un chien qui pourchasse sa queue (ledit chien étant celui de la romancière George Sand, l’amoureuse de Chopin).

-un fait divers : il y a quelques années, un piano a été découvert au bord d’une falaise, dans le Finistère. Comment a-t-il été déposé là ? Par qui ? Pourquoi ?

À la sortie du livre, j’ai été contactée par la vraie personne qui a déposé le vrai piano… C’est l’artiste Marin Esteban, musicien cinéaste, qui a hissé le piano à cet endroit, pour y tourner un court-métrage, Plogoff.

C’est très drôle de voir comme deux univers fictionnels peuvent s’entremêler !

Marinière, conque et gros Scotch®.

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Les lecteurs en parlent…

Sur le blog Vivrelivre : le livre est un « coup de cœur » ! « [L]’écriture espiègle et facétieuse […] est truffée de jeux de mots, d’expressions, de références musicales mais aussi littéraires, culturelles, populaires, de musicalité, de double-sens… J’adore ! Les illustrations d’Yves Dumont ne sont pas en reste et complètent avec délice les mots d’Anne-Sophie Tilly, tout en racontant l’histoire d’une autre manière. Indices dissimulés, expressions faciales, codes détournés, couleurs vitaminées, elles sont un régal à observer. »

Sur le blog Chercheuse de trésors« [U]ne délicieuse enquête menée avec humour et étourderies. Tout au long du livre, on doute des capacités de l’inspecteur Lépingle, qui ne semble pas trop savoir faire son travail. Même les personnages du roman semblent en douter ! Sommes toutes, il finit par démasquer le coupable et tout rentre dans l’ordre dans cette petite ville paisible. »